𝘌𝘴𝘤𝘩𝘦𝘳𝘪𝘤𝘩𝘢 𝘤𝘰𝘭𝘪, une bactérie pathogène pour l’Homme et l’animal

L’Institut de recherche en santé digestive (IRSD) de Toulouse s’intéresse aux maladies liées à la physiologie de l’appareil digestif (intestin, foie,…) et aux bactéries présentes dans le microbiote intestinal.
L’équipe dirigée par Éric Oswald, professeur des universités et praticien hospitalier au CHU de Toulouse, mène ses recherches sur des bactéries de notre microbiote intestinal qui peuvent être pathogènes pour l’homme et les animaux. Découvrez, à travers cette vidéo, les travaux des chercheurs et des professionnels de la santé de l’ENVT, de l’université de Toulouse, de l’INRAE et de l’INSERM sur la bactérie Escherichia coli, également nommée E. coli.

Aux interfaces entre faune sauvage et activités humaines

Human activities are increasingly encroaching on nature. Our researchers (IHAP) are therefore studying the consequences on wildlife.

Depuis plus d’un siècle, la population humaine connaît un accroissement sans précédent qui nous conduit à empiéter toujours plus sur la nature, que ce soit pour nous loger, nous déplacer nos loisirs, notre industrie ou bien fournir notre alimentation.

Cela a notamment pour conséquence d’augmenter sans que nous ayons choisi le contact avec le monde sauvage, entraînant diverses répercussions, que ce soit pour la santé humaine, la santé animale ou la préservation de la biodiversité.

Nos chercheurs de l’unité IHAP vous présentent leurs travaux sur le sujet.

Des virus, des volailles et des hommes

Influenza viruses have marked our history with several pandemics. They are responsible for seasonal epidemics each year, and also wreak havoc on animal populations, whether wild or domestic. Many ENVT researchers and teacher-researchers (IHAP) work on these viruses on a daily basis, in order to better understand how they work and to contribute to programs to fight influenza.

Les virus de la grippe ont marqué notre Histoire par plusieurs pandémies. Ils sont responsables chaque année d’épidémies saisonnières, et causent également des ravages dans les populations animales, qu’elles soient sauvages ou domestiques.

De nombreux chercheurs et enseignants-chercheurs de l’ENVT au sein de l’unité IHAP travaillent au quotidien sur ces virus, afin de mieux comprendre leur fonctionnement et de contribuer aux programmes de lutte contre la grippe.

Antibiorésistance ?

Selon une étude publiée récemment dans la revue The lancet, on estime à environ 1,2 million le nombre de patients qui sont décédés dans le monde en 2019 suite à une infection bactérienne et dont le décès est attribué à la résistance des bactéries aux traitements antibiotiques disponibles. Il est plus que jamais indispensable de lutter contre l’antibiorésistance, à la fois chez l’Homme et chez les animaux.

C’est dans cette optique que l’unité InTheRes mène des travaux de recherche qui impliquent des chercheurs, des universitaires des facultés de santé, des vétérinaires et qui s’inscrivent pleinement dans le concept “Une seule santé”.

Tous pertubés ?

L’équipe « Exposition, perturbation endocrino-métabolique et reproduction » de l’unité de recherche en toxicologie alimentaire (Toxalim) présentent leurs travaux de recherche qui portent sur une classe particulière de contaminants alimentaires que sont les perturbateurs endocriniens.

Les résultats de ces recherches sont diffusés et utilisés par les agences règlementaires dans l’objectif de contribuer à une gestion responsable des produits chimiques et à la réduction des risques pour la santé.

Epidémiologie et décision en santé animale

Nos chercheurs de l’équipe EPIDESA de l’unité de recherche IHAP(ENVT/INRAE) présentent leurs travaux qui portent sur les facteurs épidémiologiques qui impactent la dynamique et le contrôle des maladies infectieuses chez les animaux d’élevage.

Vieillissement cérébral : une vision en images

Les progrès modernes en matière de technologie, de soins de santé et de nutrition ont entraîné une augmentation significative de l’espérance de vie des êtres humains et des animaux. Selon l’OMS, la proportion de personnes âgées de plus de 60 ans augmente et devrait atteindre 22 % de la population mondiale totale en 2050.

Les travaux de nos chercheurs de l‘UMR ToNIC portent sur l’amélioration du diagnostic et du traitement de maladies ou affections neurologiques majeures de l’Homme. Sont particulièrement concernés les processus dégénératifs tels que les maladies d’Alzheimer, de Parkinson ou de Huntington, les accidents vasculaires cérébraux, l’anoxie, les lésions cérébrales traumatiques, les tumeurs cérébrales et autres troubles nerveux  aigus ou chroniques conduisant à un handicap.

Le programme de recherche de ToNIC repose principalement sur la neuro-imagerie, sur la stimulation cérébrale et d’autres techniques permettant d’évaluer la plasticité cérébrale, dans le but d’améliorer la récupération du patient.